A la suite d'un stage professionnel vachement innovant, nous avons eu l'idée de pratiquer un jeu en famille.
Il consiste à situer son humeur du jour en deux ou trois mots, on peut éventuellement avoir recours à une liste ou à des supports visuels clairs et imagés pour les plus jeunes, afin d'affiner la perception et l'expression des humeurs.
3 février
Moi: endormie et découragée
Léonard*: endormi et content
Lui: las et impatient
Joyeuse*: contente
4 février
Léonard*: content, électrisé et réjoui (se sent déçu à 12 heures)
Lui: démotivé (mais impatient, tient-il à ajouter à 18h)
Moi: de bonne humeur
Joyeuse*: heureuse
7 février
Léonard*: vif et sans soucis
Moi: pleine d'entrain
Lui: déterminé et fatigué
Joyeuse*: réveillée
9 février
Moi: déterminée et dynamique
Joyeuse*: triste de Mamy et triste de Léonard* parce qu'il veut plus vivre (note: mamy est morte à Noël et son frère a mal supporté de perdre à plusieurs reprises un truc sur un jeu de DS, il a donc espéré mourir pour mettre fin à son supplice; nous avons confisqué sa DS)
Lui: mélancolique et inquiet
Léonard*: enrhumé
10 février
Léonard*: joyeux et reposé
Joyeuse*: étourdie
Lui: désespéré et las
Moi: enthousiaste
11 février
13 février
Léonard*: content et joyeux
Joyeuse*: fatiguée
Moi: légère, de bonne humeur et enthousiaste
Lui: pressé
Après dix jours de cet exercice, je découvre avec stupeur que l'humeur que nous annonçons n'a rien à voir avec l'idée que je me faisais jusqu'alors de nos caractères.
Je me considère normalement comme une pessimiste, complètement négative voire un poil désespérée. Au vu de mes humeurs, on dirait le contraire.
De même, mon fils passe généralement à nos yeux pour un enfant taciturne et révolté, et le voilà enjoué à six heures tous les matins.
Mon compagnon de vie, un homme tout ce qu'il y a de plus dynamique et positif, a l'air d'être en pleine dépression. Quant à ma fille, l'enfant la plus heureuse, extravertie et drôle de la terre, elle semble souvent un brin chagrine.
mercredi 16 février
Léonard*: dynamique et reposé
Joyeuse*: de bonne humeur et reposée
Lui: tendre et cafardeux
Moi: soucieuse et apathique (mais motivée dès 10 heures)
9 février
Moi: déterminée et dynamique
Joyeuse*: triste de Mamy et triste de Léonard* parce qu'il veut plus vivre (note: mamy est morte à Noël et son frère a mal supporté de perdre à plusieurs reprises un truc sur un jeu de DS, il a donc espéré mourir pour mettre fin à son supplice; nous avons confisqué sa DS)
Lui: mélancolique et inquiet
Léonard*: enrhumé
10 février
Léonard*: joyeux et reposé
Joyeuse*: étourdie
Lui: désespéré et las
Moi: enthousiaste
11 février
Lui: tourmenté et expectatif
Moi: affectueuse et amoureuse
Léonard*: énergique
Joyeuse*: fatiguée et rigolote
13 février
Léonard*: content et joyeux
Joyeuse*: fatiguée
Moi: légère, de bonne humeur et enthousiaste
Lui: pressé
Après dix jours de cet exercice, je découvre avec stupeur que l'humeur que nous annonçons n'a rien à voir avec l'idée que je me faisais jusqu'alors de nos caractères.
Je me considère normalement comme une pessimiste, complètement négative voire un poil désespérée. Au vu de mes humeurs, on dirait le contraire.
De même, mon fils passe généralement à nos yeux pour un enfant taciturne et révolté, et le voilà enjoué à six heures tous les matins.
Mon compagnon de vie, un homme tout ce qu'il y a de plus dynamique et positif, a l'air d'être en pleine dépression. Quant à ma fille, l'enfant la plus heureuse, extravertie et drôle de la terre, elle semble souvent un brin chagrine.
mercredi 16 février
Léonard*: dynamique et reposé
Joyeuse*: de bonne humeur et reposée
Lui: tendre et cafardeux
Moi: soucieuse et apathique (mais motivée dès 10 heures)
à suivre ...
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