Un jour, un homme

Darcy, ou l'intermède orgueilleux 










Christophe Miossec, ou l'intermède brut

Christophe Miossec est le seul chanteur sur terre qui me fasse frissonner en conjuguant autant de fois le verbe "gerber" dans ses chansons, et ça, ça n'a pas de prix.
C'est le seul qui tente le coup aussi, remarquez.
Et puis il y a autre chose:
autant un roman de Paul Auster sent toujours le bagel au fromage et porte une casquette des Mets,
autant une chanson de Miossec sent toujours la mousse de bière et laisse ses fringues traîner par terre.
Je ne sais pas si je suis très claire, mais c'est ce que j'aime.








Denis Brogniart, ou l'intermède vanuatu

denislevanuatuComme chaque été, je regarde en cachette Koh Lanta, la honte au coeur mais les mains agrippant de rage mon nouveau canapé en velours côtelé quand Gaëlle la pute et Marie la truie tentent honteusement de tricher et de remporter le totem ou l'entrecôte (si au moins elles avaient partagé avec tout le monde les nattes en paille offertes par les Vanuatus pendant la soirée confort, celles qui ont brûlé pendant l'incendie ayant ravagé le campement durant une épreuve d'immunité sur la plage de la tribu des Tanas) (Koh Lanta est de très loin la meilleure fiction de l'été).
Fort heureusement, Denis l'aventurier de l'extrême et ami de la nature sait toujours remettre les vicieux manipulateurs à leur place pendant le conseil du feu, et sa toute puissance cynique et fielleuse me fait frissonner d'une joie à nulle autre pareille, surtout que j'ai un nouveau canapé en velours côtelé.
Post Scriptum (pour Marion et les Denis-Brogniart-sceptiques): j'ai bien conscience de l'audace de ce choix de labellisation, mais son côté "je fais la vaisselle des casseroles avant le début du repas" et "j'ai une pomme d'adam capable de décapsuler les bières" ne me lasse décidément pas.




Roger Federer, ou l'intermède victorieux



L'année 2006 fut marqué par l'honorifique homologation /Nichon & Nichon/ d'une joyeuse bande de mâles dominants, aux parcours certes divers mais cependant toujours divertissants:
Sawyer (ah, Sawyer, sa sueur, sa méchanceté, son torse)
Harry Roselmack (ô joyau des Antilles!)
Mike Delfino (uh le camboui, les mains caleuses, la chemise en jean)
Denis Brogniart le vanuatu (et sa célèbre pomme d'adam capable de décapsuler les bières)
Luka Kovac (prononcer "louka" avec une grosse voix croate troublante et sexy)
Miossec (je gerbe, tu vomis, il ou elle a le cul par terre)
Kamel Ouali (un peu polémique, but so incredible)
roger06
Aujourd'hui, j'inaugure l'année 2007  avec le plus incroyable des suisses touché par la grâce, qui vient de nous régaler (sur eurosport, mécréants), d'une lumineuse série de  victoires à l'Open d'Australie. C'est évidemment à Roland Garros que je l'attendrai principalement, comme chaque année, tremblante et nerveuse, car c'est dans le risque dela défaite qu'Il est encore plus Grand.



Mike Delfino, ou l'intermède plombier

mikedelfino  Quand on se frotte les nichons contre le torse épais de Mike Delfino, il faut bien s'attendre à se retrouver pleine de traces suspectes, cambouis, crasse, sang, sauce rouille?
Qui sait...
Ne se lassent pas de présager d'intenses moments sa ceinture en cuir de cochon sauvage, la fine pellicule de sueur qui suinte sur son front marqué, son tee-shirt à auréoles, sa fine barbe qu'il n'a pas eu le temps  de raser, la clé à molette coincée dans la poche arrière droite de son brut denim...





Luka Kovac, l'intermède urgent







Marc-Antoine, l'homme de l'antique été



Alain Juppé, intermède inéligible

alainjuppe


Harry, l'homme qui stimule mon intellect

sexyroselmack



Sawyer, l'intermède musclé






Kamel Ouali, l'intermède Choré