Voilà l'homme qui a réussi à me faire ressentir quelque chose comme de la tendresse bienveillante pour Jacques Chirac.
Grâce à lui, j'ai souri en entendant Devedjian râler sarcastiquement.
J'ai eu de la peine pour Jean-François Coppé.
J'ai même trouvé qu'une arabe à un grand ministère c'était peut-être pas si urgent.
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