Au son moelleux du bel canto d’un Rossini de génie, Isadora la turinoise hautaine, au rire exquis et décalé, se love avec délices dans les bras experts de sa mauresque aux cheveux de jais, et l’atmosphère de stupre palpable ne les enivre que davantage, enlacées semble-t-il, pour les siècles des siècles.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire