mardi 11 octobre 2005

Des nichons à la chancellerie

Nous en étions restés à une situation un peu délicate, souvenez-vous : les mystères de l’anatomie se sont récemment montrés insondables au point que même les élections démocratiques n’ont pu répondre à cette épineuse question : lequel du nichon de droite ou de gauche pèse le plus lourd aujourd’hui en Allemagne ?

Honnêtement, nous eûmes préféré que ce ne soit pas un Nichon social-traître qui arrive au pouvoir, car généralement le nichon de gauche est plus mignon, plus sympa, plus humain, quoi. Cela dit, un nichon est un nichon, et que voulez-vous, c’est toujours mieux que pas de nichons du tout, et il était temps pour le Sein d’Europe, de voir une nouvelle paire succéder aux douloureux souvenirs de ceux de la Dame de fer et de madame Cresson.
frauAujourd’hui, après des semaines de tergiversations pas si houleuses que ça, car le germain est assez pondéré, mine de rien, le Nichon a enfin une chance de gagner ses lettres de noblesse dans la politique européenne, et nous en sommes assez satisfaits. Quelle chance!

Cela dit, on a beaucoup glosé sur la mise en valeur aléatoire de ses propres nichons, à Angela, symbolisant un mépris certain pour sa condition charnelle et pulpeuse et chatoyante de Premier Nichon d’Allemagne Fédérale. Espérons qu'elle dépasse promptement cette désolante situation! Pour rappel cette malheureuse photographie prise lors du festival de Bayreuth de cet été, cliché promis à un bel avenir pourtant, qui nous montre une femme peu soucieuse de la nouvelle position de ses nichons: voyons, un col bateau froissé sur un soutien-gorge a priori bien moisi assorti d'auréoles Ostalgiques, pour une soirée chic et choc, quelle idée, Frau Merkel !

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